Les mesures rigoureuses annoncées par la ministre de l'Éducation nationale, Nouria Bneghebrit, à la vielle des épreuves du baccalauréat semblent plus au moins exécutées dans les différents centres d'examen à travers le pays. C'est une guerre déclarée par cette dernière contre la corruption au sein de son département.
Des appareils de détection de métaux à l'entrée de chaque centre d'examen, des retards intolérés excluant plusieurs candidats, réseau internet coupé, c'est l'atmosphère qui sévit durant ce baccalauréat session juin 2017.
"Les procédures de la sécurisation du Bac imposées après les fuites de sujets qu'on a connus l'année passée ont diminué les cas de triche", se confie à Dernieres-News un chef d'un centre d'examen.
Un dispositif important de sécurité a été également mobilisé pour assurer les transitions de sujets d'examen ainsi que des experts de cybercriminalité ont été mis en place pour intercepter toute tentative de fuite de sujets via les réseaux sociaux.
Malgré cette série de mesures, des échos rapportent des cas de triche et de fraude et fuite de sujets mais la situation vraisemblablement plus maitrisée par rapport à la session précédente.
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